GALERIE MICHÈLE BROUTTA
31, rue des Bergers . 75015 Paris
tél. 01 45 77 93 71 - fax. 01 40 59 04 32
www.galeriebroutta.com
présente
à l’occasion de la publication par les Ed.Al Manar du texte de Vincent Batbedat
« LE PRIX DE MON ÂME.
Notes pour la vie d’un sculpteur »
HOMMAGE À VINCENT BATDEDAT
Sculptures et dessins de
Jean ANGUERA - Gérard LARDEUR
Thomas LARDEUR - Francesco MARINO DI TEANA
Dietrich MOHR - Louis THOMAS D’HOSTE
DU 14 NOVEMBRE 2012 AU 12 JANVIER 2013
du mardi au samedi de 10h à 13h - 14h à 19h
Télécharger le dossier de presse
 © Galerie Michèle Broutta |
Alban LANORE, Marino di Teana "Liberté 1990 29 x 13,5 x12 cm, acier - Image grand format à télécharger |
 © Galerie Michèle Broutta |
Gérard Lardeur : "Dialogue nord sud" 1980 hauteur 70 cm acier corten - Image grand format à télécharger |
 © Galerie Michèle Broutta |
Dietrich Mohr : "La pluie tardive" 2007 66,5 x 26,5 x 19 cm acier inoxydable - Image grand format à télécharger |
 © Galerie Michèle Broutta |
Jean Anguera "Autoportrait de la sculpture - triptyque 2" 2012 hauteur 57 cm - Image grand format à télécharger |
 © Galerie Michèle Broutta |
Thomas d'Hoste : "Venus romaine" 2011 21,5 x 21,5 x 21,5 cm pierre de Souppes - Image grand format à télécharger |
BIOGRAPHIES SUCCINTES
Vincent BATBEDAT
1932 – 2010. Né à Poyanne, en terre gasconne.
« C’est dans un travail de l’acier industriel qu’il a conquis son originalité, même une renommée
l’identifiant à ce tube creux de section carrée qu’il eut l’idée de plier pour en faire le module
d’une sculpture de rigoureuse géométrie, montrant comment d’un élément simple un artiste
peut développer une oeuvre complexe, dans l’investigation d’une combinatoire infinie-pratique
résolument moderne, mais qui pour Batbedat n’a pas effacé l’ancienne, en sorte qu’il est
devenu le sculpteur double de la pierre taillée (néanmoins dans un esprit moderne) et de l’acier
façonné (mais conjugué dans une simplicité archaïque). » Gilles Plazy
Jean ANGUERA
Né en 1953.
Utilise la résine de polyester. Outre la solidité, il trouve dans
ce matériau la possibilité de reproduire avec une parfaite
précision les modelages qu’il effectue dans l’argile. Le
modelage constitue l’essentiel d’une démarche artistique qui
tente d’unir l’homme à l’espace qui l’entoure, de traduire dans
une même forme la présence et le lieu.
Gérard LARDEUR
1931 - 2002
« Je trace le cercle, forme parfaite, image du
commencement et de la fin, qui assemble et
rassemble. Le cercle est le Un et le Tout. L’homme en
gestation est un cercle divisé. Coupant le cercle par une
horizontale passant en son centre, je me retrouve avec trois
éléments : deux demi-cercles, un espace. C’est l’image de
l’homme divisé, dès l’origine entre esprit et matière, que
d’autres appellent nature divine et nature animale, dont
l’achèvement est bien la conquête de l’un par l’autre ». Gérard LARDEUR
Thomas LARDEUR
Né en 1966.
Les « Faces à face » représentent le cœur de son
travail, la résultante d’une réflexion sur l’homme face à lui-
même, aux autres, au monde, une réflexion sur sa conscience,
ses vérités, ses forces, mais aussi ses doutes, ses lâchetés, ses
incertitudes… . Il travaille l’inox, un alliage noble,
pur, résistant à l’oxydation, froid en apparence, doux et chaud
à la lumière, au regard, aux sens.
Francesco MARINO DI TEANA
1920 - 2012
« La sculpture objet ne m’intéresse plus, c’est une sculpture
monumentale architecturale que je cherche ».
A partir de volumes géométriques (cubes, cylindres, parallélépipèdes)
qu’il démembre, il arrive à créer des formes ouvertes à la
circulation de la lumière et des courants d’air.
Toute son œuvre est une vaste proposition architecturale.
Dietrich MOHR
1920 - 2012
Son œuvre, construite et lyrique, fondée sur des assemblages de
volumes et de rythmes où alternent repliement et envol, vides et
pleins, comporte, hormis de nombreuses pièces d’atelier,
une trentaine de réalisations monumentales en France et à l’étranger.
Louis THOMAS D’HOSTE
1920 - 2012
« Ses sculptures en marbre sont le fruit d’une réflexion sur la
pureté des formes et procèdent d’une géométrie au dessin
vigoureux, dans laquelle l’austérité des lignes vise à
souligner la limpidité du travail de l’esprit »
A. de Montgolfier