GALERIE MICHÈLE BROUTTA
31, rue des Bergers . 75015 Paris
tél. 01 45 77 93 71 - fax. 01 40 59 04 32
www.galeriebroutta.com

LUC PEIRE / VERTICALITÉ / GRAVURES-AQUATINTES
CHRISTIANE VIELLE / ABSTRACTION LYRIQUE / OEUVRES SUR PAPIER
ALBAN LANORE / ABSTRACTION CONSTRUITE / SCULPTURES


DU 26 SEPTEMBRE AU 10 NOVEMBRE 2012
du mardi au samedi de 10h à 13h - 14h à 19h

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© Galerie Michèle Broutta

Alban LANORE,
"Ensemble vertical",
acacia calciné, 2012

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© Galerie Michèle Broutta

Christine VIELLE
"De la nature "
technique mixte
2011

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© Galerie Michèle Broutta


Luc PEIRE
"Louxor"
aquatinte
1969

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LUC PEIRE : né en 1916 à Bruges - décédé en 1994 à Paris. Élève de Perneke, il débute avec des peintures expressionnistes. Il voyage à travers le monde grâce à des bourses. Il rencontre Eduardo Westerdahl, critique éclairé, et Alberto Sartoris avec lequel il se lie également d’amitié. En 1954 il reprend la gravure et en 1959, il crée ses premières Graphies. Ses « Environnements » réalisés dans les années 1970 sont des installations d’avant-garde. Elles sont maintenant à la Fondation Jennie et Luc Peire, à Mexico, Oakland, Bruxelles, Paris. En 198, publication du livre de l’oeuvre gravé.
Il a de très nombreuses expositions personnelles dont, en 1989, une grande rétrospective au Musée du Luxembourg à Paris et une exposition de dessins à la Galerie Michèle Broutta. À sa mort en 1994, il désigne comme héritier par testament la « Fondation Jenny et Luc Peire - Atelier Luc Peire » à Knokke.
En 1995, une grande rétrospective a lieu au Musée des Beaux-Arts d’Anvers puis au Quadrat - Josef Albers Museum à Bottrop (Allemagne).

« L’homme vit debout pour moi la verticalité, c’est la vie depuis des années elle est partie intégrante de mon oeuvre ma recherche c’est l’espace l’espace la non limitation dépasser la mesure du tableau à la verticale atteindre à la verticale infinie à l’espace illimité » L.P


CHRISTIANE VIELLE : née en 1950 à Saint Raphaël. Se spécialise dans la gravure dès ses études à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris de 1968 à 1974.
Elle partage son temps et son travail pour réaliser des livres de bibliophilie en collaboration avec des poètes (Christian Bobin, Charles Juliet, Philippe Jacottet, Thierry Laget …) et des estampes. Ses recherches s’organisent autour des questions de la transparence et de l’espace Elle a reçu plusieurs prix dont la Médaille de la ville de Paris en 1978 et le Prix Guy Levis Mano pour son livre « Pierres » de Caillois en 1984 et elle est Lauréate de la Casa Velasquez à Madrid en 1985. Elle a depuis cette datte de nombreuses expositions personnelles à Paris, Madrid, Bruxelles, Venise, au Canada, en Floride et elle participe à des expositions collectives et à divers salons et biennales. Ses oeuvres sont acquises par la B.N.F, le Musée de Mexico, la Bodleian Library d’Oxford, la New York Public Library, l’Université de Californie et par de nombreuses artothèques et médiathèques de France.

«… Concentrée sur le geste en train de s’accomplir, elle se sent libre de laisser affleurer les formes inédites dans une sorte d’élan générateur qui constitue une alternative bienvenue à la pratique de l‘aquatinte.
… Travail de l’instant donc, réduit à une simple gestualité qui débouche inévitablement sur un effet de surprise quand la forme, achevée, se révèle – presque aux dépens de ‘auteur – au point que l’on pourrait parler d’événement ou, plus exactement, d’avènement-événement »
Gérard Sourd


ALBAN LANORE
Sculpteur autodidacte, il réalise des sculptures à partir de bois, lianes ou souches, des éléments végétaux récoltés en forêt amazonienne.
Après avoir conçu et réalisé des décors importants, il crée en 1991 avec sa compagne Nanou Grimault, une société de décor végétal qui les amènera à voyager à travers le monde.
En 1998, un voyage au Gabon change leur vie, tant d’un point de vue artistique qu’éthique : stupéfait par la beauté et la richesse des forêts, il y puise l’inspiration pour une tout autre façon de travailler : les bois ramassés ne sont pas coupés, mais laissés en l’état afin de respecter l’intégrité du travail de la nature et du temps.
Puis, il prospecte les concessions forestières en forêt amazonienne pour y récupérer les rebuts qui sont ensuite nettoyés, poncés, polis et parfois calcinées pour obtenir différentes nuances de noir.
Installé en Touraine depuis 2009, dans une nature loin des lianes et des bois tropicaux, Alban Lanore invente un nouvel « alphabet » géométrique, formes radicales taillées dans des portions de tronc brut (acacia ou chêne récoltés sur place) puis calcinées en opposition au bois poli qui révèle le « veinage ».